Enquête inédite au pays des crop circles
Angleterre
Les premiers crop circles que j’ai visités étaient en Angleterre, dans le triangle « magique » constitué par les trois sites merveilleux :
Avebury, Stonehenge et Glastonbury. Quel voyage merveilleux, quelle chance !
Impossible de se taire, de garder tout cela pour soi, c’est dans le partage que l’immense réseau de crop circle prend vie. Je vous invite à lire le livre «Des cercles dans la nuit », il est né là bas.
Plus de la moitié du texte a été inspiré par l’Esprit qui souffle sur les champs de blé. Parfois quand je relis quelques pages, je n’ai pas l’impression que c’est moi qui ait écrit ces lignes.
Les cercles là-bas ont quelque chose de particulièrement puissant, comme s’ils étaient là pour l’humanité toute entière, alors que chez nous en France, par leur taille et leur dessins modestes ils créent avec la population une douce intimité.
On sait qu’il y a des « faux » crop circles, combien ? Des petits groupes d’artistes sont parfois canalisés par l’Esprit et leurs œuvres ont autant de force que les « vrais » agroglyphes.
Tout est dans l’intention, un mandala construit par des moines bouddhistes a beaucoup de valeur et c’est un cadeau pour la Terre.
Qui a donc inspiré nos « Artistes de l’espace », seraient-ce les moines du Tibet ?
De fait la géométrie universelle que l’on rencontre dans les cercles nous relient au passé, à ce qu’il y a de plus profond en nous, au langage primordial, au langage du ciel… à la géométrie sacrée.
Glastonbury, Avebury et Stonehenge représentent un immense complexe de sites sacrés anciens dont s’est inspiré la mythologie du Graal